lundi 21 septembre 2009

Spectacle le 3 octobre

3 Octobre Carole Vincelette sera en spectacle

à l'hôtel Sawyerville, avec mes musiciens.

Un spectacle jazz-blues

Le prix d'entrée est de 10$

On peut réserver sur carte de crédit au
819-889-2967.

lundi 1 juin 2009

Quelle soirée!

Le 30 mai avait lieu le spectacle de Jim Zellers devant une salle comble à Sawyerville. Comme toujours une très belle prestation de blues à la Jim Zellers.

On a profité de l'événement pour fêter l'anniversaire de naissance de Carole Vincelette, à peine trente et quelques années et toujours aussi énergique. 

Elle nous a fait cadeau de quelques chansons en duo avec Jim Zellers.

mercredi 6 mai 2009

Spectacle Jim Zeller

Voici les détails pour vous procurer les billets du spectacle de Jim Zeller et ses musiciens.

C'est le vendredi 29 Mai à 21:00 hres.

à l'Hotel Sawyerville

18 rue Principale N., Eaton, Québec,

Le prix des billets est de 15$

Pour acheter des billets, il faut téléphoner au numéro: 819-889-2967

lundi 4 mai 2009

Ça vibrait au Théâtre St-Denis !

Elle casse la baraque!

Ce soir Carole a fait vibrer le Théâtre St-Denis en interprétant de façon magistrale « Summertime » et « Georgia ». Elle faisait partie des artistes qui participait au « Show de l’entraide des grands brulés » animé par Patrick Groulx.

Elle a conquis une foule de plus de 2 000 personnes présente ce soir, qui s’est d’ailleurs levé d’un trait pour l’ovationner à la fin de sa prestation.

mardi 28 avril 2009

29 mai 2009

Carole reçoit Jim Zellers le 29 mai 2009!

C'est le party de fête de Carole avec Jim Zellers à Sawyerville.

Les billets sont en vente , s'informer au 819-889-2967








4 mai 2009

ENTRAIDE GRANDS BRULÉS

Théâtre St-Denis

UN GROS SHOW POUR UN PETIT 20$

Patrick Groulx animera le spectacle bénéfice " Après survivre, revivre", au profit de l'organisation Entraide Grands Brûlés, lundi le 4 mai 2009 à 20h00.

Cette année, Patrick sera accompagné sur scène de Jean-Michel Anctil, Pierre Hébert, Boom Desjardins, Annie Villeneuve, Jonathan Painchaud, Bob Walsh et Carole Vincelette. Mme France Castel, porte-parole officielle de l'organisme sera aussi présente lors de cette évènement d'envergure.

Publié le 31 octobre 2008 à 09h20

Mis à jour le 31 octobre 2008 à 09h25


L'Escale: 30 ans à combattre la violence conjugale

La directrice de L'Escale de l'Estrie, Denise St-Pierre, a invité ses collaborateurs à la rejoindre sur scène. Elle a eu la surprise de recevoir leurs hommages et un bouquet de 15 roses, pourchacune des années passées à la tête de la maison. Elle n'a pu retenir une larme, et l'ovation a été longue.
Imacom, Jocelyn Riendeau

Marianne DandurandLa Tribune
(Sherbrooke) Ça a commencé par un retard; le couple est arrivé au Théâtre Granada, jeudi, un peu après que la soirée eut commencé. L'homme n'a pas manqué de le reprocher à sa femme, sèchement.

Laurence Jalbert a livré une performance lors de la soirée.
Imacom, Jocelyn Riendeau
Il lui a reproché de ne pas trouver la table où ils devaient s'asseoir. L'a traitée de traînée lorsqu'elle a salué un collègue. Elle avait de nouveaux vêtements pour l'occasion. Il ne les a pas aimés. «Tu me fais toujours honte», a-t-il sifflé entre ses dents. «Envoye, bouge», a-t-il répété.

L'escalade s'est poursuivie durant cinq minutes qui ont semblé une éternité. Un froid glacial a envahi la salle, où étaient attablés quelque 275 convives assistant à la scène, impuissants. Quand l'homme a saisi le bras de la femme, brusquement, la tension était à son comble.
C'est la directrice de l'Escale de l'Estrie, Denise St-Pierre, qui a pris le micro pour crier «stop» et mettre fin à cet esclandre lourd de sens. Non, personne n'a bougé avant.
C'était le souper-bénéfice de L'Escale, une maison d'hébergement pour les femmes victimes de violence conjugale. Les acteurs avaient les projecteurs braqués sur eux, et portaient un micro-casque.
Mais les quelques rires du début ont été vite écrasés par le poids du spectacle. «Il n'y a pas de manière douce, légère, de parler de violence conjugale. C'est un sujet profondément dérangeant», a souligné Mme St-Pierre, en demandant aux convives de recommencer à respirer.
«Il y a peut-être des femmes qui ont vécu ça dans l'auto en venant ce soir (jeudi)», a-t-elle ajouté. Les statistiques disent que c'est une femme sur six, au Canada, qui a vécu au moins un épisode de violence conjugale dans sa vie. Vingt-cinq femmes dans la salle, a illustré Mme St-Pierre. Ça passe à une femme sur quatre quand on ajoute les victimes d'inceste et de harcèlement au travail.


Au cours de ses 30 années d'existence - L'Escale a été la deuxième maison du genre fondée au Québec, et il y en a maintenant 107 _, l'organisme a accueilli plus de 10 000 femmes, en comptant celles qui ont obtenu du soutien sans y être hébergées.
Les trois activités de financement de l'année ont permis d'amasser quelque 30 000 $ jusqu'à présent. Mais hier, l'objectif premier était de plonger les gens dans un moment de réflexion.
«Je pensais spontanément que le combat contre la violence était avant tout un combat des femmes contre les hommes, a indiqué dans son allocution la présidente d'honneur de l'événement, Louise Boisvert, présidente et éditrice de La Tribune. (...) Je pense aujourd'hui que le combat contre la violence est avant tout un combat contre le silence.»
Assise dans la salle, la directrice générale du CHUS, Patricia Gauthier, a rappelé à quel point la mission de L'Escale était interreliée à celle des soins de santé. Si les intervenants peuvent facilement reconnaître les femmes victimes de violence conjugale, «elles ont toutefois besoin d'être écoutées, réconfortées, et on peut difficilement le faire. C'est pour ça qu'il faut contribuer à cette cause oubliée et difficile à financer».


Du blues


Bien que la soirée visait à célébrer les 30 ans de L'Escale, elle n'a jamais pris un air réellement festif. «On voulait vous faire vivre quelque chose de spécial», a rappelé Louise Boisvert. Quelque chose qui restait dans les tripes, une saveur de blues vibrant.


Sur scène, Laurence Jalbert, Bob Walsh, Lou Simon, Guy Bélanger et Carole Vincelette ont livré des performances à donner des frissons, rappelant l'amour et sa douleur.
Carole Vincelette a ouvert le bal au piano avec Chanson pour Marie, de Nicola Ciccone, et a enchaîné avec Crazy, de Patsy Cline.


L'ambiance blues a continué lorsque Laurence Jalbert, vibrante, a poursuivi avec des succès comme Les anges dansent, Des filles comme moi, Comme tu me l'as demandé et Évidemment. Émue et sincère, elle a touché les spectateurs, qui lui ont offert une longue ovation.
Et c'est au son de What a Wonderful World, tous les artistes sur scène, que la soirée s'est terminée. Pour ouvrir des portes sur l'espoir.

La Tribune


Publié le 24 septembre 2008 à 12h49 Mis à jour le 24 septembre 2008 à 12h52


Un grand gala pour les 30 ans de L'Escale

Pour souligner de façon mémorable son 30e anniversaire de fondation, L'Escale de l'Estrie organise une soirée gala qui se tiendra le 30 octobre, au théâtre Granada, dont voici les membres du comité organisateur : de gauche à droite en commençant par l'arrière: Louise Boisvert, présidente et éditrice de La Tribune et présidente d'honneur du gala, Suzanne-Marie Landry, directrice de la publicité et marketing à La Tribune, Nathalie Ashby, Élaine St-Onge. Devant : Nicole Brouillette et Denise St-Pierre, directrice de L'Escale de l'Estrie.
Imacom, Frédéric Côté

Alain GoupilLa Tribune
Même s'il reste encore beaucoup à faire en matière de violence conjugale, les progrès réalisés depuis quelques années sont encourageants, estime Denise St-Pierre, directrice de L'Escale de l'Estrie, une maison d'aide qui depuis 30 ans, accueille des femmes et leurs enfants aux prises avec des problèmes de violence conjugale.
«Nous n'avons pas encore réussi à enrayer complètement la violence conjugale, mais je suis très encouragée par les progrès qu'on a réalisés depuis une quinzaine d'années», exprime Mme St-Pierre en pensant au chemin parcouru depuis la fondation de L'Escale, en 1978, par Laurette Giguère-de Montigny.

En terme de progrès, Mme St-Pierre souligne l'adoption de la politique gouvernementale en matière de violence conjugale qui permet maintenant à diverses professionnels (juges, policiers, travailleurs sociaux, médecins, infirmières, etc.) de pouvoir déceler des situations de violence conjugale.


Les enfants aussi


Ce sont ces mêmes progrès qui font en sorte que dorénavant des mesures peuvent être prises pour protéger non seulement les femmes, mais les enfants qui se retrouvent dans des situations de violence impliquant leurs parents.
«Autrefois, rappelle Mme St-Pierre, on pouvait accorder la garde des enfants à un homme trouvé coupable de violence conjugale sous prétexte qu'il n'était pas violent envers ses enfants, seulement envers sa femme. Aujourd'hui, on reconnaît que le simple fait d'avoir été témoin de violence est suffisant pour ne pas accorder la garde. Et cette règle s'applique également à la mère qui a, elle aussi, la responsabilité de ne pas exposer ses enfants.»
Toutes ces mesures ont eu des effets positifs, estime Mme St-Pierre, en amenant davantage de femmes à quitter la situation dans laquelle elles vivent.
«Un des changements qu'on observe depuis quelques années, c'est que les femmes qui arrivent chez nous sont de plus en plus jeunes. Autrefois, elles étaient en moyenne dans la quarantaine, les enfants étaient vers la fin de l'adolescence. Aujourd'hui, elles sont dans la trentaine, elles ont encore de jeunes enfants, sauf qu'elles décident de ne plus attendre avant de sortir de cette relation. C'est un autre signe encourageant.»


Gala festif


Afin de souligner les progrès réalisés depuis 30 ans en matière de violence conjugale, mais aussi pour faire état de la situation actuelle, L'Escale tiendra donc, le 30 octobre prochain, au théâtre Granada, un gala bénéfice, sous la présidence d'honneur de Louise Boisvert, présidente et éditrice de La Tribune.
En acceptant cette responsabilité, Mme Boisvert a tenu à souligner le rôle essentiel que représente L'Escale en tant que ressource d'aide auprès des femmes et de leurs enfants.
Quant au gala, la présidente et éditrice de La Tribune souhaite qu'il soit à la hauteur de l'oeuvre que représente l'organisme.
Quelque 300 billets ont été mis en vente pour l'événement. Chaque billet, au coût de 100 $, donne droit à un reçu pour fin de charité de 75 $.
«On veut que ce soit un gala mémorable, souligne Louise Boisvert. La violence conjugale est un problème sérieux et on en est tous et toutes très conscients. Mais on veut aussi que cette soirée soit un événement joyeux et festif pour tout ce que L'Escale représente.»

Outre le coquetel et le repas, un spectacle mettant en vedette Laurence Jalbert, Bob Walsh, Lou Simon, Carole Vincelette et Guy Bélanger sera offert aux convives qui, par leur présence, soutiendront financièrement le rôle joué par L'Escale face à la violence conjugale
Benefit Dance August 9 2008 Friday August 8, 2008 - 12:00:00 AM

Local Artist Carole Vincelette Organizes Benefit
Interviewee: Carole Vincelette Interviewer: Maureen Dillon

Enjoy an evening of great music and dance at The Sawyerville Hotel on Saturday August 9, 2008. Local artist Carole Vincelette, proprietor of the Sawyerville Hotel, takes the stage. Jazz, blues, rock, and country will all be heard--a great benefit dance for the Eaton Corner Museum!


Le Comité Touristique de Beaulac-Garthby présente au Parc Bellerive à 13h30

Dimanche le 6 juillet 2008
"Carole Vincelette"


Artiste du Québec, chanteuse, pianiste, guitariste. Elle nous présente cinquante minutes de jazz, blues, de romantisme.Toute une voix.


Le Journal de Sherbrooke
Tour de ville du 11 avril 2008

André Bernier

Tour de ville - Publié le 11 avril 2008 à 09:39

Le président du club Rotary du Sherbrooke métropolitain, Claude LaLiberté, était bien fier de constater qu'une trentaine de clubs du district avaient délégué des membres lors de la remise de charte par le président du Rotary International, Wilfrid J. Wilkinson, le week-end dernier. De nombreux présidents étaient de la fête. Au total 160 personnes étaient présentes... Artiste invitée, la chanteuse estrienne Carole Vincelette a donné des frissons dans le dos par son interprétation de La quête / The Impossible Dream...

Carole Vincelette chante pour,


Normand Legault, grand ambassadeur 2006
au Gala du rayonnement de l'Université de Sherbrooke.

Normand Legault : Grand Ambassadeur 2006

Normand Legault, président du Grand Prix F1 du Canada, a reçu le plus prestigieux titre de la soirée, celui de Grand Ambassadeur. Lui qui se qualifie de «gars bien ordinaire» s'est avoué conquis par l'interprétation du Ordinaire de Charlebois que lui a offert Carole Vincelette.


Carole Vincelette a offert à Normand Legault la pièce qui, selon lui, le décrit le mieux : Ordinaire de Robert Charlebois




Magog sera l’hôtesse d’un premier Forum sur les proches aidants
Article mis en ligne le 29 octobre 2006 à 13:15

Le proche aidant André Schryburt et l’organisatrice communautaire Annick Métivier entourent la présidente d’honneur du premier Forum sur la reconnaissance des proches aidants de la MRC de Memphrémagog, Carole Vincelette. (photo: Vincent Cliche)
Magog sera l’hôtesse d’un premier Forum sur les proches aidants
Dans le cadre de la Semaine des proches aidants qui se déroulera du 6 au 12 novembre, Magog sera l’hôtesse d’un premier Forum sur la reconnaissance de ces gens. Cette activité ouverte à toute la population, question de sensibiliser le plus de personnes possibles, se tiendra le 8 novembre prochain, à l’église St. Paul’s United.
Dans la MRC de Memphrémagog, on estime qu’environ 10 % de la population, soit plus de 4000 personnes, soutient un proche qui a une incapacité de longue durée. «Ce nombre correspond aux gens qui savent quel rôle ils jouent, mentionne André Schryburt. Il y en a certainement qui posent les gestes que les proches aidants font sans savoir qu’ils accomplissent cette action.
Quand on prend soin de son père ou de sa mère, peu importe le nombre d’heures par semaine, nous sommes proches aidants.»«C’est un peu pour ça aussi que le forum est ouvert à toute la population», ajoute l’organisatrice communautaire Annick Métivier.Dès 13 h, les personnes sont invitées à prendre part à des ateliers de travail. «Nous voulons que les gens prennent parole. Il n’y a pas seulement ceux qui se font aider qui ont besoin de support. Les aidants ont aussi besoin d’une certaine partie d’entraide. Il faut se rendre présent et plus visible», pense M. Schryburt.
La présidence d’honneur pour cette activité a été accordée à la chanteuse Carole Vincelette qui, elle aussi, est une proche aidante. «J’ai accepté l’invitation qu’on m’a lancée puisqu’un jour, qu’on le veuille ou non, nous nous occuperons d’un proche. Grâce à ses activités, les gens pourront voir les ressources disponibles dans le milieu en un seul endroit. Ils pourront aussi faire connaissance avec d’autres personnes qui vivent dans la même situation. C’est un bel endroit pour échanger», conclut-elle.


Entrevue avec Le net Blues




Kiosque Edwin-Bélanger: Musique gratuite tout l'été

28 juillet 2005 (QIM) -

Les spectacles en plein air ne sont pas réservés aux grands festivals. Depuis son inauguration en 1993, le Kiosque Edwin-Bélanger situé sur le parc des Champs-de-Bataille, à Québec, accueille son lot de concerts gratuits en une impressionnante variété de styles musicaux. La saison 2005, qui a débuté fin juin avec le spectacle Interlude sous la direction de Mario Dufour et ironiquement le guitariste britannique Andrew Wolfe Burroughs, descendant du général du même nom, offre ses séries Jazz et blues (les jeudis), Grand public (les vendredis), Musiques du monde (les samedis) et Les Dimanches enchanteurs.

Tout au cours des mois de juillet et août, la programmation proposée est la suivante:
2 juillet: Saudade
3 juillet: Groupe vocal La-Mi-Sol
7 juillet: Jay Sewall and The Cajun Blues Band
8 juillet: Nouvelle Époque
9 juillet: Trio Marc Vallée
10 juillet: Les Zalarmes
14 juillet: Pierre Dubé
15 juillet: Monique Jutras
16 juillet: Sylva Balassanian
17 juillet: Groupe vocal Privilège
21 juillet: Lapon Balèze
22 juillet: Sonia Pelletier
23 juillet: Catherine Potter - Duniya Project
24 juillet: Geneviève Charest
28 juillet: Guy Cardinal
29 juillet: Pop Corn
30 juillet: Joanne Griffith
31 juillet: Vibrations
4 août: Mélanie Petit
5 août: Perdu l'Nord
6 août: Sambia Jil
7 août: Rythm' Ô choeur
11 août: Glamour Puss
12 août: Nancy Dumais
13 août: Mika
14 août: Gio Aria
18 août: Carole Vincelette
19 août: Antoine X
20 août: Marco Calliari
21 août: Ghislaine Hamel - Java Jivers

Les spectacles débutent à 20 heures sauf le 21 août où le spectacle de Ghislaine Hamel: Hommage à Clémence Desrochers, débute à 19 heures, en première partie de la formation Java Jivers
CAROLE VINCELETTE - Blues & Jazz

Un spectacle où blues et jazz se fondent dans une ivresse qui puise sa force dans l’intensité de la voix de Carole Vincelette. Chanteuse et femme entière, à la manière de Billie, Ella ou Aretha, elle brille sur scène par sa fougue et sa sensibilité. Avec la complicité de ses trois musiciens, elle interprète les grands classiques du genre et quelques compositions originales… un pur plaisir !

Date : Le samedi 4 octobre 2003

Bécancour.net
Tremblant 2002


Carole Vincelette


J’étais assis à l’intérieur d’un club adjacent à la scène où l’on pouvait très bien voir et entendre Carole. Je suis allé dans ce club car les nuages menaçaient le ciel et je ne voulais pas tremper la caméra et l’appareil photo.

Et bien, il n’a pas tombé de pluie, faut croire que Dame Nature s’est laissée entraîner par le spectacle et c’est plutôt la foudre de Carole qui a pris le dessus.

Son spectacle est un feu roulant de chant, de complicité avec le public et ses musiciens.

La foule s’est vite laissée emporter par le spectacle et plusieurs salves d’applaudissements lui ont témoigné pour plusieurs leur découverte.


Nous vous invitons à lire l’entrevue que nous avons réalisée avec elle dans notre section Artiste Du Mois.

Webzine Le Net Blues Tremblant 2002Par: Réjean Nadon Photos: Louise Gosselin

Les Jalouses du Blues
Festiblues 2001 ( International de Montréal ) Parc Ahuntsic
Webzine Le Net Blues Par: Réjean Nadon

Nom humoristique sûrement inspiré de la chanson Câline de blues de Gerry Boulet qui chantait "les femmes sont jalouses du blues, Câline de blues faut que j'te jouse." Ce groupe ne se compose pas toujours des mêmes artistes et ne présente jamais le même spectacle. Sous la direction de Suzanne-Marie Landry, que l'on connait pour avoir orchestré le festival de blues de Tremblant, le groupe nous a offert un répertoire choisi parmi les meilleures chanteuses de blues.


À tour de rôle en duo et à cinq, elle nous ont livré un très bon spectacle rempli d'émotions et de talents. À la première pièce la foule était conquise, à la dernière les applaudissements étaient à tout rompre et on aurait aimé assister à une heure de plus de spectacle.


C'était la première fois que j'assistais à un spectacle des Jalouses. On ne m'avait dit que de bons mots à leur sujet mais, il faut voir leur spectacle car parfois les mots ne suffisent pas! Bravo, pour cette belle folie, un spectacle à voir.


De gauche à droite je vous les présente: Suzanne-Marie Landry (harmonica), Danika Perreault, Carole Vincelette, Angel Forrest, Dawn Tyler Watson et Geraldine Hunt.